AGIRabcd Loire Océan et Soirée Sans Frontière du Conseil Départemental de Loire Atlantique

Une soirée pour échanger sur la solidarité internationale
entre élus et associations

 

Cette rencontre n’avait pas eu lieu en 2020 pour cause de Covid-19.

Organisée à la fois en présentiel et en distanciel, elle est l’occasion pour le département, représenté par son président Michel Ménard de rappeler l’engagement du département en matière de coopération décentralisée au profit de la Palestine.

Mais aussi en aidant de nombreuses  associations qui œuvrent à l’international.

La solidarité internationale au temps du Covid-19

Ce thème était central dans la soirée. Madame Dorothée Schmid, chercheuse à l’IFRI : https://ifri.org a exposé brillamment comment le covid-19 avait bousculé le monde : évènement imprévisible qui a provoqué une prise de conscience de « l’épuisement du monde », une crise de confiance, un désenchantement politique et modifié la hiérarchie des Etats.

Trois associations mises en lumière

  • L’association « Inde et Vous – Les enfants de Dehradun » a montré comment elle a pu maintenir une école pour 317 enfants dans un bidonvile alors que les écoles ont été fermées en Inde durant 18 mois : indeetvous-lesenfantsdedehradun.com.
  • L’association « Réseau atlantique social et solidaire » permet à la diaspora guinéenne d’accompagner et de financer des projets de migrants qui veulent retourner dans leur Pays
  • AGIRabcd Loire Océan pour son projet de développement solidaire à Madagascar : amélioration du revenu des agriculteurs par l’agroécologie, cantines scolaires et potagers communautaires dans 16 écoles pour 2400 élevés et formation qualifiantes en français de 20 enseignants volontaires chaque année. Annyvonne et Pierre représentaient AGIRabcd Loire Océan.

Ces trois projets sont différents et illustrent l’utilité du travail des associations en matière de solidarité internationale. Ils ont provoqué un débat intéressant, notamment dans le cadre de la pandémie, à laquelle s’ajoute pour Madagascar la sécheresse qui touche désormais les hauts plateaux et est, sans aucun doute, causée par le réchauffement climatique.

Les remarques très positives faites sur le projet à Madagascar nous rendent fier du travail fait et nous encourage à poursuivre nos actions, tant à l’étranger que dans nos deux départements de Loire Atlantique et de Vendée.

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