DEUX AGIRIENNES DE LOIRE OCEAN DE RETOUR DE MISSION DU RWANDA ET DE JORDANIE

DES DEMANDEURS DIVERS

Au RWANDA c’est une école primaire basée à KIGALI qui a demandé l’intervention d’une bénévole d’AGIRabcd Loire Océan. En JORDANIE c’est une ACADEMIE MILITAIRE qui souhaite que ses officiers apprennent le français. Si l’intervention est bénévole, le demandeur doit cependant financer le voyage en avion,  loger et nourrir le bénévole et indemniser AGIR PARIS pour ses frais.

Le RWANDA a normalisé ses relations avec la France et s'est modernisé

Après le génocide de 1994 au RWANDA, les relations avec la France se sont apaisées. La langue française y fait un retour timide mais réel.  Ce pays a su évoluer et est devenu l’un les plus modernes d’Afrique. AGIR y conduit de nombreuses missions. Carole BONNEAUD, de Loire Océan revient d’une mission de 4 mois demandée par l’école primaire ABITONDA à Kigali.  Cette école francophone depuis 2000 suit le programme du ministère de l’Education Nationale Française et espère avoir l’homologation. AGIR intervient depuis 2023 pour former des enseignants Rwandais

Carole a enseigné le français à 8 élèves du primaire pour que ceux-ci puissent ensuite intégrer le lycée français. Elle est revenue enchantée de cette mission qui s’est très bien déroulée et où elle a été très bien accueillie.

La France est très présente en Jordanie

La France et la Jordanie sont liées par une relation d’amitié et de confiance. Les missions de l’ambassade de France sont multiples. Elle facilite notamment l’apprentissage du français au sein de l’institut français à AMMAN. C’est pour répondre à cette demande que Régine DERRIEN, bénévole à AGIRabcd Loire Océan a enseigné le français à 11 officiers jordaniens.

Le niveau de départ en français étant assez faible (niveau A1.1) l’objectif était de se familiariser avec la langue française Régine a dû utiliser une méthode basée sur la communication orale et écrite. Cette nouvelle approche pédagogique, adaptée à leur niveau, basée sur l’écoute de l’oral et les échanges à développer entre eux a surpris.

 Mais tous les étudiants ont acquis de bonnes bases pour communiquer en français, des connaissances en grammaire, en vocabulaire, en phonétique et en éléments culturels pour chercher à progresser en français. Et surtout entretenir une motivation sans faille pour l’environnement francophone

Vous aimerez aussi